Mini marché

Rhoy la tirai déjà vers une autre étale…

- Jouer un rôle pensa t’elle

C’est ce que Akëa faisait tous les jours évitant les contacte avec les autres se forgeant son mur.

- Gardienne des sceaux...

Dans mon esprit tordus, je me mis à l'imaginer armée avec pleins de sceaux d'eau derriere elle, tuant des démons qui tentaient de s'en approcher.

- Fascinant... Ouaou, des casquettes!

Je partit vers l'étale et regarda plusieurs casquettes, j'en pris une et l'examina. Je retira celle que j'avais et l'essaya. Le marcahnd eu un petit cri d'horreur en voyant mes deux oreilles de chat, je le regarda, étonné.

- Non, n'ayez pas peur , ce ne sont que des oreilles...

Il reprit alors la casquette et me cria dessus pour que je m'en aille. Je repartit prêt d'Akëa et de Godefroy, les sourcils froncé et la tête baissée.

- On peut partir d'ici?...

- Ouais ! De toute façon c'est plate !

Je continuai de les suivres. On arriva à un magasin de livre et d'objet magique. Nous entrons dedans. Beaucoup de ranger était remplie de livre et au fond aussi. Y'avait un escalier qui montait à l'étage suppérieure. Qu'est-qui y'avait, je l'ignorais complettement. J'avança vers la caisse. Personne s'y trouvait.

- Bon... c'est bien un magasin ou pas ? Parce que le vendeur n'est pas là et ça l'air de ne pas trop bouger !

Akëa avait vue l’expression du marchant et sa la choqua particulièrement cela l’attrista même beaucoup.
J m’avance vers le marchant et le regarda de mon regard glacé. Je lui dis simplement un seul mot. Il recula de peur.
Puis je repartis vers Rhoy.

- N’est pas honte de ce que tu ai…Je t’aime bien.

C’était la première que qu’il disait cela a quelqu’un.

Je fit un petit sourire timide à Akëa et me mis à rougir, je me grattais le nez pour essayer de cacher cette gêne.

- Merci, mais c'est pas bien grave, j'ai l'habitude. Quand on me crache pas dessus, on me traite de démon alors tu sais, ce qu'il vient de se passer n'est pas grand chose. On continue notre promenade ^^ ??

Maintenant que j'y pensais, j'avais l'air vraiment minuscule à coté d'Akëa et de Godefroy, on croirait une petite famille faisant sa sortie du dimanche...

^- Pourquoi pas, oui !

Nous continuons à se promener dans ce marché grand et avec pleins de gens.

- Où on va là ?

- On continue à marcher, c'est le but d'une promenade non??

Nous continuons à marcher, regardant les étales. On passa devant un marchand de fleur, j'en acheta une et l'offrit à Akëa.

- Cadeau, parce que tu m'as l'air très sympa... Et toi Godefroy, je te trouve sympa aussi mais offrir des fleurs à un autre homme, c'est pas top mon truc et toi non plue je pense

Akea sourie c'était la première fois qu'on lui offrai une fleure.
Merci dit-elle gentillement
Ils continunuais la promenade

- Dis moi Akëa, quand j'ai t'ai vu tout à l'heure, tu n'avais pas l'air dans ton assiete, et même maintenant. J'ai l'impression qu'un truc te tracasse. Je veux pas jouer le psy ou bien te forcer à te confier loin de là, j'ai juste envie de savoir si cette sensation est confirmé ou non?

- Elle peut-être timide un peu ?

On marcha toujours, même si nous devions visiter des sites comme : un magasin de fleur, pour homme, pour femme, une boutique de pharaon et même encore plus ! Mais là, on s'était belle et bien arrêté pour un bout sûrement, car Rhoy avait possé une question à Akëa.

- Mhhh... regardez-moi ces beignes au miel !

La sensation d'un magasin de beigne m'attirait plus que autre chose.

Akëa regarda Rhoy et Godefroy. Elle ne savait pas trop quoi répondre.

- C’est ma façon d’être. Je préfère la solitude.

La solitude était un moyen pour elle ne pas s’attacher au autre.

- Ah... je vois. Mais même si tu veux être dans la solitude, y'en a qui on eux des problèmes.

Dis-je avec la bouche pleinne de beigne.

- Sont bons ces beignes-là !

Akëa regardais Godefroy se goinfré, elle esquissa un sourire.

Je préfère éviter de me lier au autre.

Akëa demanda un beignet a son tour car c’était trop tentent.

- J'en ai apporter spécialement pour vous deux.

Je tendis deux paires de sac remplit de beigne de chez "Sam l'épais d'gros cochon", un titre que tout le monde pouvait en parler à ligne ouverte de ces cartactères grossié.

- Y'a des beignes au Chocolat, aux Fraises, aux Miels et Noix, pis la dernière c'est trois beignes bostonnais, genre caramel dedans avec crème.

- C'est bête de pas vouloir avoir d'amis... Mais c'est une vision des choses comme une autre. Et merci Godefroy pour toutes ces miettes et postillons que tu partages avec nous....

J'enlevai les quelques miettes que j'avais sur la figure.

- Désoler...gloup... je ne le ferait plus à l'avenir.

Mon regard tombait sur un magasin. Ce bâtiment était étrange et louche à voir. De plus, nous étions équipés d'arme et nous savions nous défendre.

- J'ai envie d'aller faire un tour là-bas, ça semble spécial à voir comme bâtisse.

(Akëa va revenir dans quelque minutes, elle a un problème avec son ordi.)

- C'est vrai qu'un magasin avec quelques petites tâches de sang en bas de la porte c'est pas super banal...

Comme j'était un neko, mes sens était plus développé que les humains. Je voyais très nettement les tâches de sang et une odeur bizare se dégager du magasin.

- Une attaque, sûrement ? Allons voir ce que sait !

Nous partions vers le bâtiment louche. Quand je fus au devant de lui, je l'observa et me concentra pour chercher un aura ou un esprit qui se baladerait dans la bâtisse. Je sentis une faible densité d'une aura, ce qui semblait être une entité à la recherche de quoi. Je regardais en haut, au deuxième étage, voyant un homme m'observa en haut de la fenêtre.

- Même un esprit d'un homme semble nous observer en haut. Il n'a pas l'air heureux, juste en voyant son expression sur son visage.

Akëa mangeais son beignet tranquillement.
Lorsqu’il m’entraîna vers un bâtiment plutôt louche.
Akëa regard le bâtiment qui dégageait quelque chose d’étrange voir même de surnaturel.

- Akëa, tu vois le monsieur à la fenêtre, au deuxième étage ?

Je lui montra du signe de mon doigt, le bonhomme qui nous observais plus tôt louche à la fenêtre.

- Une entité louche...

Elle regarda se que Godefroy lui montrait. Un homme plutôt vieux les observait. Il paraissait étrange. Il nous regardait d’un air plutôt mauvais à faire palire un mortelle.
Akëa se demandais ce qui lui était arriver pour qu’il est se regarde.*
Elle regarda Godefroy et Rhoy.

-Que faisons nous ?

- Allons faire un tour... dedans !

Dis-je en défonçant la porte de plus belle. Nous entrons dedans la vieille bâtisse pourrie. Y'avais un foyer, alors je trouvais une allumette par terre et j'alluma un bon feu. Bon, ce n'était pas tout mais, l'homme avait descendu pour venir nous trouvez.

- Le monsieur semble pas aimer la charité qui rentre dans les maisons. Bon, fouillons un peu la maison, vous voulez ?

Godefroy avait carrément défoncé la porte quel manque de courtoisie…
Il aurait pu vérifier si la porte était fermée au moins. Je regardai Rhoy qui semblait être d’accord. Alors elle entra a son tour suivit de Roy.
L’homme qui se trouvais en haut était descendu il s’emblais dire quelque choses mais les mot ne sortais pas de ses lèvres.
Puis un vent glacial traversa la pièce. Et on entendit crié. Puis il disparue.

- Signe qui veut qu'on le laisse traquille.

Je fouillais le salon, chercha des indices. Je chercha où le divan et je trouvis dans la craque du meuble, un morceau de papier jaune, avec des écritures dessus.

- Regarde Akëa !

Akëa et Rhoy lésait Godefroy chercher les indice.
Elle était rester la sans bouger ressentant des vibration étrange après que l’homme devait disparue.
L’endroit dégageait une odeur de moisie tout comme du sang.
Godefroy la regarda l’air intriguer et il lui tendit un bout de papier jaune qu’il venait de trouver.
Elle le pris et regarda ce qu’il y avait déçu.
Apparemment quelqu’un avait écrit avec de l’encre rouge.
Non cela n’était pas de l’encre rouge mais plutôt du sang. Impossible. Mais pourtant si.
L’écriture était un peu illisible mais on arrivait à lire tout de même. Elle écarquilla les yeux et lisant ses simple mot.

Homard ma tuer !